Cette semaine, la journaliste Edith Canestrier dresse le portrait de Farida Yahmi. Une pointure, une de ces femmes puissantes qui émergent là où on ne les attend pas.
@Michel Setboun
Farida Yahmi a pignon sur rue. Des restaurants, des cafés qu’elle ouvre puis referme pour s’en aller voir ailleurs et ce, depuis 2009. J’en ai compté au moins six dans le quartier de la Goutte D’or. Désormais, il en reste trois : « La Fa Brick » rue Myrha, « Les Mah-Boules », rue de Jessaint, et le petit dernier, une annexe de « La Fa Brick », rue Ordener.
En matière de femmes maghrébines, j’ai des lacunes. J’ai bien rencontré quelques pétroleuses au « jardin l’Univert », des Kadidja, des Fatma. Des manières d’aventurières, avides de rencontres, de vie associative. Pour le reste, je les côtoie plutôt au marché Ornano, en pleines courses avec caddie. C’est léger !
Là, je sentais que j’avais affaire à une pointure, de ces femmes puissantes qui émergent là où on ne les attend pas.
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